Dominique Baulez

Né en 1955. Débute la batterie à 16 ans avec Kenny Clarke chez Dante Agostini. Initiation à la percussion avec Georges Paczynski. Lauréat comme vibraphoniste au Concours national de jazz de La Défense en 1980.
Découvre à 25 ans le bonheur d’avoir chez soi un piano juste; en commence l’étude, touches noires comprises.
1986. The Mooch, premier disque préfacé par Henri Renaud. Parallèlement, écriture de romans (« Quelques années de permission » Flammarion), de pièces de théâtre.
Les années 2000. Elève au cours Simon (un bonheur absolu). Naissance des Variations Baulberg, un divertissement où vibraphone, tambour et piano se croisent autour de Bach, Edith Piaf, Jean Tardieu, Valère Novarina, Hanock Levin ; sans oublier mes Vieux interludes et mes parodies de chanson. Le violoncelliste Maurice Baquet aimait citer ce mot de Cosima Wagner : « De tous les bruits que fait mon mari, c’est encore sa musique je supporte le mieux. » Et si ces Variations Baulberg baignaient aussi un peu dans cet esprit-là.
